Au Drenche, nous pensons que c’est un devoir pour un média de donner accès aux lecteurs à la manière dont nous fonctionnons. Nous sommes persuadés que la confiance entre un média et ses lecteurs passe obligatoirement par cette transparence.
Nous avons choisi de vous détailler ici les sujets qui nous semblent importants. Si toutefois vous pensez que d’autres sujets devraient figurer ici, n’hésitez pas à nous contacter.
- soit par notre comité de rédaction ouvert (ou comité des lecteurs) : n’importe qui peut rejoindre ce comité, proposer un sujet de débat, et voter pour les sujets qui l’intéressent, ou simplement regarder. Toutes les propositions ne sont pas publiées (certains sujets ne sont pas formulés de manière équitable, ou parfois nous ne trouvons pas de contributeur pour défendre un point de vue), mais nous apportons une réponse à tous les sujets qui arrivent en tête des votes. Les débats provenant de ce comité sont repérés par ce logo :
- soit par la rédaction : nous essayons de traiter tous les sujets de société importants, pour lesquels les citoyens ou leurs élus pourraient être amenés à choisir (un projet de loi, un choix pour l’avenir, une question de société, etc.).
De manière générale, les questions que nous traitons doivent avoir la formulation la plus neutre possible, doivent pouvoir être défendues équitablement, et ne doivent pas contenir d’incitation à la haine, d’attaques personnelles ou de propos illégaux ou contraires aux droits de l’Homme. Il n’y a pas d’autres restrictions.
Nous avons constaté que les personnes légitimes provenaient de trois types de publics différents :
- les acteurs terrains (ex : un(e) enseignant(e) pour un sujet sur l’éducation, un médecin pour un sujet de santé, etc.), associations ou ONG, légitimes sur leurs métiers ou domaines d’actions,
- les universitaires, chercheuses ou chercheurs, dans leur domaine d’expertise,
- les élu(e)s, locaux ou nationaux, légitimes car amenés à proposer et voter pour ou contre des orientations de société.
Nous nous limitons à ces critères pour le choix des intervenants, en faisant attention à la parité dans nos intervenants (nous essayons d’avoir autant de femmes que d’hommes), et à leur distribution politique lorsqu’il s’agit d’élus (pour faire en sorte qu’il n’y ait pas une sur-représentation d’un parti dans nos colonnes par rapport à sa représentativité élective).
Il arrive également que certaines personnes nous proposent d’intervenir : nous acceptons si elles répondent à ces trois critères (légitimité, compétences, engagement).
Il arrive également qu’il y ait plusieurs manières de défendre un sujet, auquel cas il peut y avoir 2 Pour et 2 Contre.
En aucun cas ils n’ont connaissance de l’identité de leur adversaire, de sa tribune ou de ses arguments avant la publication du débat. Toutefois, si un contributeur ne souhaite pas être opposé à une personne en particulier, nous pouvons le rassurer sur cet unique point.
Enfin, les contributeurs peuvent demander accès au contexte qui sera publié, pour s’assurer de son impartialité. Toute remarque sur le contexte est étudiée par la rédaction et/ou le comité de lecteurs, sans forcément lui donner raison.
- à 45% par Florent Guignard, l’un des co-fondateurs
- à 43% par Antoine Dujardin, l’autre co-fondateur.
- à 12% par un ensemble de petits actionnaires individuels, qui ont pu investir via une levée de fonds participative réalisée avec la plateforme Lita.co.
Et c’est tout. Si c’était amené à changer, nous vous informerons de ces changements.
Pour en savoir plus sur l’équipe et les créateurs, cliquez ici.
Cela signifie que les actionnaires ont un droit de vote, mais aussi les salariés, les prestataires récurrents, certains lecteurs et le comité de conseil. Cela permet un fonctionnement plus démocratique et une prise en compte d’une plus grande diversité de points de vue.
Une formule d’abonnement est également disponible.
Des prestations aux collectivités ou aux entreprises (suppléments, animation de conférences débats, etc.) constituent des sources de revenu complémentaires.
- de publi-rédactionnel caché ou masqué,
- de débats truqués ou payants,
- de vente de données personnelles,
- de publicité cachée, en ligne ou en version papier.
Pour l’année 2016, nos dépenses se décomposent comme suit :
- Edition papier (dont prestataires) : 16 795€
- Site internet : 233 €
- Salaires (1 stagiaire) : 454 €
- Frais administratifs, impôts et taxes : 2 151 €
- Dépenses diverses : 42 €
- soit un total de 19 675€
- soit un total de 19 675€
Pour cette même année, nos recettes se décomposent comme suit :
- Apport en capital (dont reliquat de financement participatif) : 5 500 €
- Abonnements : 295 €
- Vente de publicité : 17 591 €
- Subventions : 1 500 € (due au départ en congé création d’entreprise)
- soit un total de 24 886 €